La mobilité est un droit, mais comment rendre celle-ci choisie et non subie, éco-acceptable et éco-durable.
Les perspectives de mobilités individuelles futures doivent répondre impérativement à la question ! Quelles mobilités ?
Afin d’éviter ou de réduire les déplacements les spécialistes proposent plusieurs solutions :
Télétravail, téléconférence, autopartage, covoiturage, voiture autonome, location, système de géolocalisation, aides à la conduite, réseaux de partage d’informations, multimodalité, mise en place d’interfaces intégrant des plateformes servicielles s’appuyant sur des protocoles en lignes.
Toutes ces mesures développées très techniques, high-tech, sont élaborées par rapport aux difficultés et problématiques créées par la voiture en milieu urbain. Effectivement 80 % des déplacements en milieu urbain se font en voiture. Et très peu de personnes ne songes à réduire drastiquement la masse des véhicules.
La prise de conscience que la voiture n’est peut-être plus adaptée en ville est manifeste.
La voiture du futur même électrique ne peut être d’un type de modèle unique.
Il faut impérativement sortir de la logique actuelle de concevoir des véhicules capables de satisfaire tous les usages. La voiture ne peut et ne doit répondre à tous les besoins.
Pour optimiser le taux d’occupation, les véhicules doivent être adaptés aux types de trajets et de besoins.
La voiture est responsable des difficultés et problématiques en ville impactant la mobilité :
Impacts négatifs économiques :
Le développement des infrastructures, coupure, fragmentation, bétonisation, congestion, encombrement embouteillage, file d’attentes, étalement des zones urbaines, taxations, péages urbains, taxe carbone, parking.
Impacts négatifs humain :
Facteurs de stress et d’anxiété, impact sur la santé, émission de gaz à effet de serre, pollution atmosphérique, nuisance sonore, visuel, olfactive.
L’observation de plusieurs phénomènes comme l’explosion du nombre de deux-roues
motorisés et du développement des sociétés de moto taxi démontre le besoin de mobilité.
L’idéal serait d’optimiser ces moyens de transports.
La voiture est très confortable, très ancrée dans l’imaginaire comme étant le prolongement de son habitation, symbole de niveau sociale, outil personnel, ne correspond plus maintenant à un modèle d’avenir pour les déplacements en milieu urbain.
La voiture en ville est quatre fois trop grande, quatre fois trop massive, son bilan carbone est quatre fois supérieur au besoin nécessaire à son usage.
La voiture électrique, aussi propre soit-elle, ne fera pas la “mobilité durable”.
Cela permettra seulement d’avoir des embouteillages plus propres et moins sonore ce qui n’est pas négligeable, mais toujours négatif.
La mobilité positive est le petit véhicule UMEIC Ultra Mobile Étroit Inclinable Carrossé.